Nos équipes ont du talent : Étienne, pilote de drone

12 juin 2020 | #CommunicationEditoriale

Chez Portemire, nos équipes ont du talent, et nous les mettons en avant. 
Nous débutons cette série avec Étienne Thomas-Derevoge,  réalisateur-monteur et directeur technique chez Portemire, il est aussi un pilote de drone agréé par la DGAC (Direction générale de l’Aviation civile).

Prises de vues aériennes, étalonnage professionnel, esprit créatif, Étienne est un véritable couteau suisse : entretien.

Aperçu en vidéo de ce que peut proposer Étienne : 

Pourquoi le drone ?

Étienne - La prise de vue aérienne par drone s’est beaucoup démocratisée depuis quelques années, en particulier grâce à l'émergence des nouveaux appareils plus performants, plus fiables et plus compacts qu’avant. Il est maintenant possible d’avoir dans un sac à dos un drone avec une caméra performante pour réaliser des prises de vues de très bonne qualité.
Avant l’apparition de ce genre de modèle, tourner des plans aériens sur des petites productions était impensable car trop coûteux et complexe à mettre en place. 

En tant qu’opérateur de prise de vue et réalisateur, il est important pour moi de pouvoir proposer un nouveau type d’image qui apporte une autre dimension et une plus value créative importante dans la réalisation de films.

Photo-01

Comment être certifié pilote de drone ?

L’utilisation de drones pour la prise de vue aérienne, d’un point de vue réglementaire et de la législation, est très stricte. 

Pour devenir pilote de drone professionnel, et donc pour avoir le droit de faire voler un drone, il faut passer un brevet théorique et pratique poussé dans un centre d'examen d’état.  
Le passage de cette licence a nécessité environ 3 mois incluant : les révisions pour la préparation du brevet théorique, les cours en présentiel avec un instructeur, les cours pratiques et le passage des épreuves. À l’issue de ce processus, une fois l'examen de télépilote réussi, un certificat d’aptitude est remis. Il permet alors de déposer des demandes de survols aux préfectures pour les tournages. 

Comment s'organise un tournage ?

Une grande partie du travail s’effectue en amont lors de la préparation. Il faut délimiter précisément les zones à survoler le jour du tournage et faire les vérifications sur les cartes de l’aviation civile : présence de pylônes électriques, zones militaires, aérodromes, hauteurs maximales à respecter, zones interdites au survol... 
Il faut ensuite déposer une demande à la préfecture incluant l’ensemble des documents nécessaires. 

Exemple d'une carte accompagnant le dossier demandé par la préfecture : 

HALL DE LA PINÈDE – CARTE DRONE

La réalisation d’une mission nécessite de prévoir dix à quinze jours en amont pour être certain d’obtenir les autorisations en temps et en heure. 
Le temps de préparation d’une mission est souvent bien plus long que le tournage lui-même.

Pour le tournage il faut donc être très vigilant à respecter les consignes de vol. 
Vient ensuite l’aspect technique et créatif pour réaliser de belles images, bien exposées, esthétiquement cadrées et avec des mouvements intéressants. L’idéal est de travailler avec deux opérateurs, un spécifiquement dédié au pilotage et l’autre aux mouvements de la caméra.

Quelles sont les prestations que tu proposes ? 

Les prestations peuvent être uniquement aériennes ou bien en prise de vue classique au sol avec des images supplémentaires par drone. C’est le cas de figure le plus fréquent. 
Pour moi, l’image aérienne est un outil créatif additionnel.

Quel matériel utilises-tu ? 

Le Mavic 2 pro de DJI :

Photo-03

Il filme en 4K jusqu’à 30 images secondes et en “D-Log”, un format dit “flat”, qui permet un étalonnage professionnel en post-production.  

Chez Portemire, nous sommes en recherche constante pour vous proposer des solutions éditoriales et créatives. Alors si pour votre projet, vous souhaitez des prises de vues aériennes ou avez des questions sur le sujet, contactez-nous

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